| | Sakcha | | Voyageur |  | | 23 messages postés |
|  Posté le 08-07-2006 à 18:56:27   
| yoh, et bien voilà j'ai eu pour demande d'une charmante belle jeune demosielle de lui écrire unt exte comme cadow.
Alors voilà je vais faire revivre ce bon vieux Larmes
enfin je vais essayer. et donc si déjà je réécri autant vous faire partager ca.
vous ne le connaissez surement pas tous, mais voilà je vais vous faire partager un morceau de la vie de ce personnage que les féérien ne connaissait pas ou peu. cela peut être vous interressera
ce qui est marrant c'est qu'au moment même ou j'écrit ces lignes je ne sais pas encore exactment où va mon histoire.
donc vous aurez des morceau selon mon avancement ^^
Message édité le 08-07-2006 à 19:09:29 par Sakcha |
| | Sakcha | | Voyageur | | | 23 messages postés |
| Posté le 08-07-2006 à 18:57:38
| « On me nomme Larmes de lune écarlates.
Un nom étrange me direz-vous, mais pas tant que ça pour un barde, poète, ménestrel que je
suis. Un nom de scène, qui laisse présager beaucoup, entouré de mystère, que je me suis
donné il y a fort longtemps. Fort longtemps… oui bon cela dépend du point de vue, il y a
aussi fort longtemps pour moi que je n’ai pas grimpé à la fenêtre d’une belle et pourtant cela
ne fait que 3 jours… Enfin bon pour vous ça sera Larmes. »
L’homme qui parlait à voix haute perché sur le toit d’un des nombreux temples de la ville
marchait de long en large avec un équilibre certain. Il parlait bien sûr seul et était sûrement un
de ces brigands, rufians et autres personnes de mauvaise compagnie. A quoi pouvait on voir
cela ? Peut être était ce du au faite qu’il était plusieurs heures passées minuit, ou alors peut
être était ce du au faite que l’on ne marchait pas sur un temple d’une déesse, ou encore était ce
du aux habits déchirés de l’homme aux cheveux gris. Mais pour le chat qui venait de se faire
réveiller pour sure c’était un mauvais homme et il mériterait qu’il pleuve sur lui. Ainsi, pour
peu que l’on soit réveillé et que l’on possède une bonne vue on aurait pu voir la silhouette
d’un chat disparaître dans une des alcôves du temple laissant place à une autre silhouette qui
s’inclinait, se retournait et marchait à quelques 10 aines de mètres du sol. La lune était au
rendez vous, enfin son quart et la scène était théâtrale.
La rue était calme, l’air lourd et le peu de vent se perdait dans les méandres des rues de
Fééria. Peu de lumière perçait la ville ce qui la rendait comme morte, fantomatique.
« Et bien on dirait qu’avec cette chaleur je vais me retrouver à dormir ici. »
L’homme regarda fixement un morceau de mur là où l’un des toits penchait légèrement puis
s’accroupit soudain. Il sorti alors de son sac une fine pierre d’une couleur sombre et termina
d’écrire sur la pierre froide du temple son poème. L’écriture était belle et soignée.
« Souffle de vie , le voilà enfin fini » Il se gratta le menton et y tritura sa courte barbichette.
Si jamais une prêtresse venait à voir ça elle se planterait les ongles jusqu’au sang. Encore
faudrait elle qu’elle comprenne de quoi cela parle enfin bon va expliquer à ce genre de
femme que les temples me procurent une source d’inspiration phénoménale.
L’homme desserra son jabot, enleva sa veste longue qu’il mit en boule puis entreprit se
s’étendre là pas loin où le chat avait somnolé tranquillement il y a peu. Il inséra son sac dans
la boule ainsi formée et l’utilisa comme oreiller.
Il s’endormit paisiblement le sourire aux lèvres en s’imaginant une prêtresse essayant
désespérément de grimper sur le toit pour y voir le sacrilège. Ici le vent avait tendance à s’attarder et à
vous rendre les nuits chaudes agréables…
Son sommeil fut tout sauf paisible. Il rêva de son passé. Et quand cela arrive, les crises
suivent aussi. Son corps fut pris de spasmes, sa respiration devint haletante, s’arrêtant pendant
de longues secondes, des sons inarticulés s’échappaient de sa bouche, grognements graves
plaintifs et pourtant il ne se réveilla pas. Ses doigts grattaient le sol rompant ci et là des
ongles. Son dos se cambra si fort que sa tête cogna la pierre le sol. Le chat qui s’enfuit pu voir
le barde avec pour seul contact au sol sa tête et ses pointes de pieds… Sa mâchoire par
moment faisait crisser ses dents. Et ses yeux restaient fermés. La crise continua des heures
durant…
Message édité le 08-07-2006 à 18:59:10 par Sakcha |
| | Sakcha | | Voyageur | | | 23 messages postés |
| Posté le 12-07-2006 à 19:28:48
| Un… Le boulet qui fracassa cordes, ponts et os continua sa course pour disparaître au fond du
navire. Découvrant ainsi un homme au regard gris, torse nu, caché derrière des planches. Sans
attendre il couru. Ne reste pas sur place ! Jamais !
Deux… Un autre passa tellement près du matelot aux cheveux gris qui courrait que celui-ci
senti la chaleur sur son visage puis ce fut la douce chaleur du sang s’éclaboussant et
s’éparpillant partout. Taj, il s’appelait Taj, j’ai joué aux osselets hier soir avec lui… Il
plongea derrière une barrique sentant se planter milles échardes.
Trois… Haletant il en ressorti zigzagant entre les hommes qui se confondaient ? tellement leur
visages étaient déformés par la crispations, le sang, la surprise…
Quatre… Ses oreilles bourdonnaient désormais, des gens s’adressaient à lui mais il courait
sans s’arrêter taillant de ci de là quand il était sure que ce n’était pas un compagnon. Ou ai-je
trouvé ce sabre ? Cinq… le colosse roux qui lui bloquait le chemin alla se briser contre l’escalier de bois
menant au gouvernail tué par ses propres canonniers.
Six… tout bascula d’un coup et le contact de l’eau glacée gifla l’homme.
Il perdit son arme où du moins la lâcha pour pouvoir remonter.
Où est la surface ? Il avait perdu quasiment tout son air en rencontrant l’eau glacée.
Pendant un instant, alors que les sons étaient étouffés et que ses oreilles continuaient de
siffler, la peur l’assaillit. Elle n’avait pas eu le temps de surgir avant tant l’attaque fut
violente.
Mais maintenant alors que sa vue était brouillée, Je ne vois plus rien !, elle prit toute son
ampleur. Un… deux… trois… Violemment il ouvrit les yeux, vis la silhouette d’une planche
de bois qui remontait vers la surface et la suivit. Les cadavres tombaient semblables à la neige
d’Isbala dans ce calme irréel de l’océan. Ses poumons allaient exploser d’une seconde à
l’autre. Le sel semblait lui emplir la bouche. Nager avait toujours été son fort et pourtant ses
membres semblaient paralysés et l’empêchaient d’aller aussi vite qu’il le fallait. Je vais
mourir là. La froide résolution d’une mort certaine sembla redonner à son corps un semblant
de coordination…
Il émergea avec un râle, pataugea pour rester la tête hors de l’eau pendant que les sons
explosaient autour de lui. D’ici, il put voir une chaloupe collée à la Riselka. Il comprit alors
comment s’étaient retrouvés tant de traîtres d’un coup dans leur dos alors que les cannons
raisonnaient. Mais ce que son cerveau n’arrivait pas à assimiler c’était l’étrangeté de ce plan
d’action, et surtout l’obéissance de ces hommes. Ceux qui avaient été dans cette chaloupe il y
a quelques heures devaient être tous mort à présent, que ce soit tué par un camp ou l‘autre.
Les deux bateaux étaient collés désormais l’un à l’autre comme des amants passionnés et de
leur baisé mortel ne cessait de cracher la mort.
Quoi qu’il arrive la Riselka va couler. Mais on est bien plus nombreux qu’eux... A quoi joue
leur capitaine. Les vagues l’empêchaient de parvenir jusqu’au bateau elle semblait même
petit à petit l’éloigner. Des hommes ne cessaient de tomber par-dessus bord et l’eau autour
des bateaux était sombre, noire, rougeâtre. L’abordage allait être repoussé lorsque L’homme
qui s’appellerait Larmes plus tard aperçu une forme encapuchonnée de noir. Sa robe semblait
aspirer la lumière mis à part ce tracé bleuté qui serpentait sur la robe et tout a coup Larmes
sentit son regard plus qu’il ne le vit se poser sur lui.
Un frisson inexplicable grimpa le long de son échine et il se débâtit violemment pour fuir à la
nage de l’endroit où il se trouvait. Pourtant l’homme appuyé sur la rampe du bateau n’avait
pas bougé. Est il réel ? Je rêve ? Larmes se débattit. Le goût du sel semblait se répandre dans
son palais, alors que la peur lui faisait battre son cœur à tout rompre. Pourquoi ai-je peur ? Il
était en train de couler. Pourquoi je me laisse couler? Perdu dans ses pensées son corps lui
semblait lointain. Doucement, calmement il glissa vers les profondeurs obscures.
Il crut apercevoir un requin, sentir une nageoire, mais il rêvait. Cela devait forcément être un
rêve. Réveille toi! Il sentit des mains sur son torse, glisser le long. Il fut complètement absorbé
par la nuit. Puis il lui sembla voir des boules de lumières. Il cru voir une femme. Mais il ne
controlait plus rien, ni le fil de ses pensées ni son corps. Mort, mort, mort, écaille écaille écaille,
chante pour nous, chante le sel .chante pour nous chante sur l’autel.
Message édité le 12-07-2006 à 19:30:24 par Sakcha |
| | captain | | Voyageur |  | | 204 messages postés |
| Posté le 12-07-2006 à 20:12:33
| bon, ça s'améliore... le premier chapitre, on voyait que ça fesait longtemps que t'avais pas tenu une plume^^ En relisant, tu verras tes fautes, pas mal de repetitions encore
sinon, c le style habituel, donc c'est bien, agrémenté de quelques jolis morceaux tel Les deux bateaux étaient collés désormais l’un à l’autre comme des amants passionnés et de
leur baisé mortel ne cessait de cracher la mort.
celui là, je l'aime bien...
Faudra que j'etoffe mon truc avec des phrases dans le genre d'ailleurs
vivement la relecture...
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| | Sakcha | | Voyageur | | | 23 messages postés |
| Posté le 13-07-2006 à 00:46:53
| ca marche
continue les critiques ca aide, pareil pr le premier post, les erreurs faut me les souligner
c chiant j'ai vraiment peud e tps pr ecrire mais au moins je commence à voir ou je veux en venir.
jaime pas la taille de la police de ce forum jtrouve ke c chiant à lire, idem pr les couleur des elfes enfin bon...
c'est bizarre je préfere limite le 1er post
le 2e ce n'est que du serieux ca manque de jeu d'esprit , mais en même tps c'est ça le passé du larmes.
courage pr ceux ki lisent
Message édité le 13-07-2006 à 00:47:49 par Sakcha |
| | Sakcha | | Voyageur | | | 23 messages postés |
| Posté le 27-08-2006 à 17:43:50
| la fin , brève comme toute histoire qui s'acheve 
Larmes s’éveilla. Des gouttes ruisselaient sur son corps. Toujours sur le toit. Toujours là chaleur.
Une crise il en avait eu une, cela faisait longtemps.
Il ne pu réprimer le sourire qui lui vint aux lèvres. La forme encapuchonnée… Qui aurait pu prédire
que la paralysie qui l’avait emprisonnée n’était autre que celle de l’amour? Un coup de foudre disent les romans…
Ah, ils ne connaissent rien, le cœur qui s’arrête de battre à la vue de la personne qui est faite pour vous.
La rencontre de sa moitié n’a rien à voir avec un coup de foudre…
C’est tout moi ça rencontrer l’âme sœur à ce moment là, le pire moment, et surtout de la laisser
disparaître impuissant.
Surplombant les toits il continua d’observer les gens doucement s’affairer. Le matin. La pluie consentante
se tarit laissant poindre une lueur. Et Larmes disparut.
Adieux et bonjour comme toujours…
Message édité le 27-08-2006 à 17:44:46 par Sakcha |
| | Boromir | | Voyageur |  | | 16 messages postés |
| Posté le 28-08-2006 à 15:40:21
| lol, fin un peu courte ^^ mais très bien...
Ca devrait lui plaire à ta demoiselle larmes^^
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"Dans la vie, il y a ceux qui ont un arc et ceux qui creusent, toi tu creuses..." |
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